L’homme d’affaires a été placé en garde à vue mardi 24 avril dans les locaux de la police judiciaire à Nanterre, dans le cadre d’une information pour « corruption d’agents publics étrangers et trafic d’influence ». En cause : les conditions d’attribution des concessions portuaires à Lomé (Togo) et Conakry (Guinée) et l’utilisation de sa filiale Havas dans les campagnes électorales des responsables africains.