La semaine dernière, Bamako, la capitale malienne a abrité le sommet du G5 Sahel.
Certains présidents africains voient le FCFA comme une malédiction et face à cette situation, le président français a répondu avec une crise de colère. Il n’a pas manqué de leur rappeler qu’ils sont toujours dans la théorie, et qu’ils feraient mieux de poser des actes concrets si cette monnaie les dérange vraiment, il a même donné l’exemple de la Mauritanie et de Madagascar.
Il s’est également adressé à ceux qui ne voulaient pas sortir du FCFA en ces mots : « Si on y reste, il faut arrêter les déclarations démagogiques, faisant du FCFA le bouc émissaire de vos échecs politiques et économiques, et de la France la source de vos problèmes ».
Avant son élection, le président français avait déjà donné sa position face à cette situation lors d’un entretien avec Jeune Afrique, pour lui : « C’est un choix qui appartient d’abord aux africains eux-mêmes.
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