Une autre femme, qui décide de se rendre dans son champ d’arachide, a été, elle aussi, victime d’un tir des djihadistes. Mais ses jours ne seraient pas en danger.
Depuis le 04 octobre dernier, les habitants de Farabougou sont pris en otage par un groupe de djihadistes. Personne n’y entre, personne n’en sort. Sans l’ordre des djihadistes qui s’y comportent comme un éléphant dans un magasin de porcelaine.
Pendant ce temps, les récoltes, arrivées à maturité, pourrissent dans les rizières, désormais, interdites aux paysans.
Pour l’heure, aucune action militaire n’a été annoncée pour libérer « Farabougou martyrisé, mais Farabougou toujours occupé » pour paraphraser le général De Gaulle à la libération de Paris en 1945.
O.B /Canarddechaine.com