La fin de l’année 2019 dans le Sahel a été une série noire : le 1er novembre, à Indelimane, une attaque revendiquée par l’EI a tué 49 soldats maliens. Le 2 décembre, 38 personnes étaient assassinées au Burkina Faso, dans la pire offensive depuis 5 ans. Le 10 décembre, c’était le Niger qui subissait ses plus lourdes pertes, 71 morts à Inates. Une série d’attaques meurtrières à laquelle il faut ajouter la collision, le 25 novembre, de deux hélicoptères français, qui poursuivaient des terroristes du groupe État islamique au Grand Sahara, dans le Liptako. Le bilan est de treize morts, des solda…
Source: lepoint