Dans ses dérives successives et sans vergognes, l’ex chef d’agence Abdoulaye Diarra excelle en stratégie de nuisance et d’usage du faux. Apres ses bassesses : faux et usage de faux, vol de chèque des clients et pire encore. L’ex chef d’agence de la BIM-sa est affecté actuellement au service du capital humain. De ce fait, après ce relèvement, Abdoulaye Diarra est sur le banc des accusés de la banque elle même. Et rien que ! Comme si cela était largement suffisant pour sanctionner un agent escroc de la banque.
Au vue de tout ce qui précède, les graves dommages causés qui sont d’ordre à faire peur. Dans sa pratique, les forfaits reprochés à cet ex patron de l’agence Djélibougou, sont entre autres : imitation de signatures, vol de deux à trois chèques sur le chéquier de ses clients avant qu’ils ne rentrent en possession de leur chéquier, usage de faux documents avec des pièces d’identité nationale imaginaires et certificat de résidence fictifs. Encore mieux, le chef d’agence falsifiait des contrats de travail.
Conséquences : il a conduit certains fidèles de la banque en faillite, et d’autres sont ruinés. Donc la rigueur et l’exemplarité qui ont durant longtemps guidé les pas de la BIM-sa auraient été jetés dans l’eau. Tout simplement, dû au comportement de cet irresponsable responsabilisé Abdoulaye Diarra. De ce fait, la Banque internationale pour le Mali qui bénéficie des services de cet agent véreux, est reprochable dans cette affaire. Puisque, son chef d’agence en plus des actes qui lui ont couté son poste de chef d’agence, a été appelé par les responsables de la banque à un autre service ??? est ce à dire qu’il n’a pas encore fait pire ? Tout porte à croire que c’est cette hypothèse qui convainc la BIM-sa. Dans la mesure où, la dite banque ose confier demander des services d’un prédateur banquier qui est capable de nuire les risque, incroyable mais vrai, Abdoulaye Diarra aurait reconnu les faits à lui reprochés lors d’une de ses multiples auditions. Et la banque, quant à elle aussi, justifiera son relèvement du poste de chef d’agence par ses dérives avérées. Ce qui va sans dire que, le dangereux agent Abdoulaye Diarra est soit intouchable ou soutenu. Sinon pourquoi pas des mesures dissuasives à son en contre ?
Sinon, comment comprendre que le chef d’agence de Djelibougou Abdoulaye Diarra ose, à plus forte raison parvienne à alimenter le compte des clients à hauteur des centaines de millions FCFA. Et demande à ceux-ci, de ne pas toucher à l’argent. Simplement, pour attirer l’attention de ses victimes, en leur faisant croire qu’il peut leur accorder des prêts de grosses sommes. Mais à la seule condition que, le client de la banque lui reverse une rondelette bien garnie. Abdoulaye Diarra dans sa bésogne, réclamerait souvent jusqu’ à 40 millions FCFA.
Selon une source, le très stratège maléfique Abdoulaye Diarra, dispose de tout un procédé sophistiqué qui surpasse les informaticiens de la très grande banque Internationale pour le Mali. Car, sans garantie présentée à la banque, à l’absence même du client, le chef d’agence de Djelibougou, expert en nuisance, parvient à emprunter aux clients. A la seule condition qu’il trouve sa part du sésame. Par exemple, sur un prêt de Un million FCFA, Abdoulaye Diarra propose d’enlever deux cent cinquante mille FCFA et fait croire au client que cet argent sera déposé dans un compte épargne qu’après le paiement de l’intégralité du prêt, il lui sera remboursé. Il faut au client, avoir fini de liquider sa dette pour faire face au refus du remboursement des Deux cent cinquante mille FCFA par le chef d’agence dévastateur qui ne recule devant. Même devant la tentative d’imitation de la signature des clients pour retirer de l’argent sur leur compte. Ou encore pire, enlever des chèques sur le chéquier des clients à leur insu, Abdoulaye Diarra en excelle. A en croire à nos sources, profitant de l’inattention des clients, le mal Abdoulaye Diarra enlèverait des chèques aux chéquiers avant de les remettre au propriétaire. Que fait il avec ? Cela dépasse l’imagination !
Dans cette pratique, (expert) en imitation de signature, le gérant de l’agence BIM-sa de Djélibougou, fait endosser le chèque et retire l’argent sans que le client ne soit informé. Peu soucieux de sa grande responsabilité de chef d’agence et jamais inquiété de ses actes, le délictueux Abdoulaye dit (Blokrouni), se joue de la réputation de la BIM-sa et de la confiance des clients. Qui ont désormais leurs comptes, à la merci d’un prédateur qui soudoie les gros clients, et ne doute pas de ruiner les moyens.
Incroyable mais pourtant, tout cela révèle la fiabilité et la sécurité qui manque à la BIM-sa. Avec ces pratiques, cette banque manque de contrôle et de sérénité sur les comptes de ses clients et peut être, n’a pas le contrôle de son propre système. Voilà la réalité ! Dans la logique où, le patron d’une simple agence, est en mesure d’user de faux documents, imiter des signatures, inventer tout ce qui lui semble nécessaire pour créer des comptes au nom des clients sans qu’ils ne le sachent, cela laisse fort à craindre.
Encore pire, aberrant et peu orthodoxe en ce XXIème siècle, toujours à en croire une source bien imprégnée du dossier, Abdoulaye Diarra se vante de ses bassesses sans rien craindre. Où est donc passé l’éthique et la déontologie de du banquier surtout d’un haut responsable. Un métier, qui n’est pas acquis au premier venant. Partout au monde, être banquier c’est la rigueur, la loyauté, la perspicacité, l’honnêteté et surtout, le souci de préservation de la confiance entre la banque et sa clientèle. Ce qui vient d’être bafoué par un seul agent, qui rend service à la BIM-sa. A la Banque Internationale du Mali, l’enquête de moralité ne serait donc pas critère de recrutement et la loyauté une valeur recherchée ? Tout porte à le croire quand cet établissement de crédit confie des postes de responsabilité à un monstres parmi les hommes comme Abdoulaye Diarra. Qui est capable de nuire pour son appétence, voire ruiner les clients pour ses besoins.
A suivre
Tang.Doz
SOURCE LE DENONCIATEUR