« Tout le monde est opposé ! Des problèmes communautaires, des problèmes dans l’armée, même entre les religieux… (des) problèmes entre tout le monde… Il y a un malaise dans le pays, il y a une mauvaise gouvernance. Il y a une corruption à ciel ouvert. Je le dis et je le redis ! »
En clair, pour lui, il faut rapidement, après avoir balisé le terrain, une rencontre entre acteurs de la vie politique locale. Objectif : s’entendre sur une feuille de route pour sortir de la crise.
Dissolution de l’Assemblée nationale contestée par certains, dissolution de la Cour constitutionnelle décriée par d’autres : aucun sujet ne sera tabou, ajoute le chef religieux.