Les États ouest-africains et la junte militaire s’étaient engagés à le faire revenir au Mali si la justice avait besoin de lui. Les 15 États de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) avaient « pris des engagements écrits pour que IBK se présente si la justice a besoin de lui, a affirmé, dimanche, une source proche de la junte qui l’a renversé le 18 août. Nous avons respecté nos engagements pour le départ d’IBK. C’est dans un but humanitaire. »
Source: Journal le Républicain-Mali