« Nous voulons que les responsables du ministère de l’Environnement, de l’Assainissement et du Développement durable et de la mairie s’engagent à signer un document attestant que la montagne d’ordures sera évacuée au maximum dans 72 heures », a-t-il interpellé, visiblement remonté. Il a ensuite révélé qu’il y a quelques jours, des riverains s’étaient réunis pour informer les responsables de la mairie de la dégradation des routes du secteur, provoquée par le tas d’ordures.
Aucune réponse satisfaisante n’a été donnée par les autorités municipales, a déploré notre interlocuteur, un peu dépité. Toute chose qui explique cette sortie pour le moins musclée, en guise de protestation.
Alou Badra Doumbia
Source: L’Essor-Mali