Le renoncement d’IBK repose, selon toute évidence, sur un besoin de mieux opérationnaliser l’équipe gouvernementale dans le cadre du processus des législatives réclamées à cor et à cri par les participants au DNI. Du coup, c’est le gouvernement Boubou qui semble prendre le relais du syndrome des prorogations après l’institution parlementaire. Le hic est que l’ajournement du remaniement pourrait aussi ne pas déboucher sur les objectifs sous-tendus, à savoir : le renouvellement de l’hémicycle par des élections législatives dignes ce non. Dans ce cas, c’est bonjour les dégâts car le cycle des prorogations pourrait ne pas manquer d’atteindre l’institution présidentielle.
La Rédaction
Source: Le Témoin