Contrairement aux épreuves du DEF et du Bac, les épreuves du BT1 et BT2 ont commencé sans incident dans la plupart des centres du district de Bamako.

S’il y a eu des dysfonctionnements au baccalauréat, des mesures ont été prises afin que les examens du brevet de technicien (BT) se déroulent dans de meilleures conditions. Déjà, à 8h, tout semblait rentrer dans l’ordre dans les différents centres d’examens de Bamako que nous avons sillonnés.

Ainsi, au lycée Mamadou Sarr, le chef de centre Diomo Cissé, s’est dit très heureux du bon déroulement des examens. Il a déclaré n’avoir rencontré aucune difficulté et en plus tous les sujets sont arrivés à l’heure et les candidats ont tous commencé les épreuves à l’heure indiquée. Il a aussi ajouté qu’ils sont au nombre de 727 candidats en lice dans son centre. Par la suite, le complexe scolaire El Madani Diallo était dans les mêmes conditions avec 378 candidats en BT1.

Au centre du Lycée Askia Mohamed, le président du centre, Mamadou Keïta a déclaré que les épreuves ont démarré à 8 heures précises. Ce centre est composé de 20 salles pour un total de 400 candidats inscrits, dont 240 garçons et 160 filles. Tous les candidats sont en BT2 comptabilité. Parmi eux-ci, on dénombre 41 candidats absents, dont 26 garçons et 15 filles.

Au centre du Lycée Technique de Bamako, ils sont 568 candidats à avoir composé et ils sont répartis en 19 salles. Le nombre d’absents est de 104 candidats. Le centre compte 23 filles et 545 garçons tous en série électromécanique.

L’Ecole centrale pour l’industrie, le commerce et ‘administration (ECICA) abrite les candidats en BT1 comptabilité. Selon le président de ce centre, Mamadou Dembélé, 625 candidats ont été dispatchés en 25 salles qui composent son centre.

Et, 106 candidats étaient aux abonnés absents.

A en croire M. Dembélé les épreuves ont démarré à 8 heures précises et sans incident.

Même constat au centre du Lycée la Lumière. Ce centre compte 240 candidats inscrits pour 7 salles. Tous les candidats sont en série comptabilité BT1.

Boubacar PAITAO et Oumar BARRY

Source: L’Indépendant