Lundi: Mamadou Sakho invente un nouveau mot

• Mamadou Sakho en conférence de presse, à la veille du premier match de préparation entre l’équipe de France et la Norvège, invente un nouveau mot.

«C’était un moment exceptionnel pour toute l’équipe. On a participé à un truc fantastique. Mais maintenant il faut le laisser derrière nous. Comme le je dis souvent, le football c’est un éternel reprouvement».

• Le Suisse Stanislas Wawrinka après son élimination prématurée de Roland-Garros, dès le premier tour face à Guillermo Garcia-Lopez (6-4, 5-7, 6-2, 6-0).

«Je n’ai pas le niveau de Nadal, Djokovic et Federer. Je sais juste que je peux briller et les battre».

Mardi: Caroline Garcia en mode tracteur

• La joueuse de tennis française Caroline Garcia, éliminée dès le 1er tour de Roland-Garros par Ana Ivanovic, raconte son calvaire.

«J’ai vécu un moment de solitude. Je n’ai pas réussi à gérer cette pression. J’étais bloquée et n’arrivais pas à décoincer mes pieds du sol. On aurait dit un vrai tracteur».

• Julien Benneteau, battu en cinq sets et 4 heures 30 de jeu au premier tour de Roland-Garros par l’Argentin Facundo Bagnis, est un peu déconcerté.

«C’est cruel. Le mec est 150e mondial et c’est monstrueux la façon dont il joue. Il y a 20 ans, un mec 150e mondial ne jouait pas comme cela. Aujourd’hui il n’y a plus de match facile. Un Argentin gaucher sur terre, quel que soit le classement, on sait que c’est pénible…»

Mercredi: Antoine Griezmann le bon samaritain

• Au lendemain du premier match de préparation des Bleus pour la Coupe du monde de football, les six réservistes de l’équipe ont quitté le château de Clairefontaine dans l’après-midi. Un moment d’émotion, d’autant qu’Antoine Griezmann a fait part d’un souhait de ses six compatriotes.

«Les réservistes nous ont demandé de leur ramener la Coupe.»

Jeudi: Le coup de colère de Pierre Rolland

• Dans une interview pour L’Équipe, Pierre Rolland revient sur la polémique qui a éclaté mardi sur le Giro. Avec Nairo Quintana, le cycliste français a lancé une offensive alors qu’une neutralisation de la course avait été réclamée.

«Ce n’est que le soir que j’ai appris toute cette polémique. Mais ça n’a pas de sens. Je n’ai vu ni moto ni commissaire dans la vallée venu nous dire de nous relever. Il n’y a pas de patron dans le peloton. Aucune solidarité entre nous et il n’y en a jamais eu.»

Vendredi: Ernests Gulbis et sa vision des femmes en 2014

• Un journaliste demande au tennisman letton Ernests Gulbis, victorieux contre Radek Stepanek au 3e tour de Roland-Garros, un avis sur ses petites sœurs qui pourraient bientôt faire leur entrée sur le circuit professionnel féminin. La réponse a probablement dû faire bouillir les associations féministes…

«J’espère qu’elles ne feront pas de carrière professionnelle dans le tennis. Parce que pour une femme, c’est dur. Une femme a besoin de profiter de la vie. Elle a besoin de penser à sa famille, à faire des enfants. Comment pouvez-vous penser à faire des enfants lorsque vous jouez au tennis jusqu’à 27 ans?»