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C’est la question que nombre de Maliens se posent, suite aux récents agissements du général Sanogo, mais aussi des autorités. Un mandat d’amener a été lancé, il y a deux semaines, contre le général Sanogo, soupçonné d’avoir les mains entachées de sang de ses frères d’armes. Mais celui-ci ne semble pas être inquiété et ne cesse de narguer la justice.
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Cela fait déjà deux semaines qu’on en parle. Mais rien. Les commentaires vont bon train et tout ou presque semble être dit sur ce fameux mandat d’amener lancé contre le général au point que certains journalistes inventent l’information. Histoire de faire vendre leurs journaux ?
En tout cas, l’affaire Sanogo est devenue ces derniers temps un fonds de commerce pour certains organes de presse et semble jeter du coup, un discrédit sur l’ensemble de la presse malienne. Le moins que l’on puisse dire dans cette affaire, c’est que les Maliens semblent être noyés dans le flux d’informations données par la presse sur le général Sanogo.
«Tant que le général n’est pas entendu, je ne crois plus aux journaux sur cette histoire de mandat d’amener. Si mandat d’amener il y a eu, qu’attendent les autorités pour l’amener de force », s’interroge Dr. Simaga, professeur de l’enseignement supérieur. Pour lui, cette histoire de mandat d’amener lancé contre le général Sanogo n’est que du dilatoire. Puisque la CPI commence à s’intéresser au cas Sanogo, ce mandat a été la formule toute trouvée, ajoute- t-il, par les autorités maliennes pour baisser sa tension.
Comme Dr. Simaga, ils sont nombreux, les Maliens qui commencent à croire que le président de la République ne va pas toucher à un chevé du général Sanogo. «L’apport de Sanogo a été de taille pour l’élection d’IBK à la magistrature suprême. Une chose est sûre, il n’a pas soutenu IBK pour rien ; ils se sont dit beaucoup de choses », affirme sous anonymat un cadre de l’Adéma/PASJ.
Bien qu’anti-putschiste, il estime qu’il sera injuste de la part des nouvelles autorités, de lever les mandats d’arrêts internationaux lancés contre les leaders des groupes armés et au même moment, traîner le général Sanogo devant la justice. «C’est au nom de la réconciliation nationale que des chefs des groupes armés ont été blanchis ; au nom de cette même réconciliation, Sanogo peut être pardonné, surtout qu’il a déjà présenté ses excuses au peuple malien lors d’une cérémonie solennelle à Koulouba », ajoute notre interlocuteur, membre du Comité exécutif de l’Adéma /PASJ, un parti qui a fortement condamné le coup de force du 22 mars 2012.
Aujourd’hui, l’affaire Sanogo n’est –elle pas devenue une «petite danse indansable » pour IBK ?
En trainant son «ex- allié électoral» devant la justice, IBK ne risque-t-il pas d’être surpris désagréablement ?
Aussi, en laissant Sanogo tranquille IBK ne sera-t-il pas à son tour embêté par les organisations de défense des droits de l’homme ?
Et s’il est vrai que «Kati ne fait plus peur à Bamako », pourquoi les nouvelles autorités ont-elles autant de peine à amener Sanogo devant la justice ?
Pourquoi ne lèvent-elles pas la confusion autour du statut de Sanogo ?