
Face à un pouvoir hostile, la France s’est donné deux semaines pour envisager son avenir au Mali, après neuf ans de lutte anti-jihadiste à laquelle elle avait fini par réussir à associer des partenaires européens. Si Barkhane est devenue une opération morte-vivante, la France n’a pas renoncé à ses objectifs au Sahel : éviter la contagion jihadiste et la déstabilisation des États de la région. L’analyse de Bruno Clément-Bollée, général en 2ème section et expert sécurité en Afrique.
Source: RFI